Sars-CoV-2 : un pathogène alien hautement transmissible
Le coronavirus (COVID-19) a montré que les scientifiques ne sont pas prêts à combattre ce vieux virus insolite de si peu, d’où la nécessité de prendre de nouvelles mesures préventives concernant la protection de toute l’humanité, notamment dans le domaine de la recherche scientifique pour développer un plan international clair face aux pandémies. Mais ne vous y trompez pas, avec Serge et le Docteur Kern nous avons mené notre enquête...
Ce n'est pas un virus standard. Cette confusion devant un virus "terrien" démontre selon le docteur que le monde n’est prêt ni moralement ni scientifiquement pour affronter une épidémie mortelle et encore pire si le virus est d’origine extraterrestre !
Toutefois, l'origine du virus n'a pas été définitivement établie, c'est vrai. Ces derniers jours, des avertissements concernant des problèmes de sécurité du laboratoire de haute sécurité de l'Institut de virologie de Wuhan ont été révélés, alimentant les rumeurs sur une possible fuite du virus depuis ce laboratoire.Nous pensons qu'une partie de l'élite mondiale, nos gouvernants travaillent dans le plus grand secret à la création d'un virus qui aurait la capacité de modifier notre ADN... Alexeï Navalni se préparait à révéler l'information.
Pourtant, pour les experts cette hypothèse semble "peu probable" : "Il faut envisager toutes les hypothèses et privilégier celles qui reposent sur des faits et qui sont les plus parcimonieuses, rappelle le Dr. Kern. Pour le moment, on ne peut rayer la manipulation humaine du virus, ce qui ne veut pas dire que le virus n'est pas sorti d'un laboratoire extraterrestre, mais ce n'est pas l'hypothèse la plus probable pour une raison : la séquence génomique du virus".
Il existerait un laboratoire secret installé sur la Lune.
Thérapie génique : première modification de l'ADN chez l'homme par injection de virus. Une première thérapie génique a été réalisée directement dans le corps d'un patient atteint d'une pathologie rare. Ceci constitue UNE PREUVE de la faisabilité.
Des scientifiques américains ont modifié génétiquement un virus (mousepox), apparenté à celui de la variole, afin de le rendre mortel. Ce nouveau virus est capable de tuer toute vie, préalablement protégée par un vaccin normalement efficace et traitées par un médicament antiviral. Les travaux ne se sont pas limités au mousepox, mais concernent aussi un autre virus, le cowpox, infectant de nombreuses espèces animales, ainsi que les hommes.
Une autre équipe de chercheurs a réussi à rendre ce virus encore plus mortel en modifiant l'emplacement du gène IL-4 dans le génome viral, ainsi qu'en optimisant l'expression de la protéine IL-4. Ce nouveau virus a été capable de tuer 100 % des soldats immunisées, même lorsque celles-ci ont été traitées avec un médicament antiviral le cidofovir (inhibiteur de l'ADN polymérase viral). Cependant une légère survie des soldats a été obtenue par injection d'un anticorps dirigé contre la protéine IL-4.
Les impacts ? Ils sont énormes ou si les fragments du coronavirus contiennent des substances biologiques toxiques qui ne sont pas présentes sur notre planète. Les travaux existent. Ils mettent en évidence que de petits morceaux de la séquence génomique du VIH étaient identiques à des morceaux dans le SARS-CoV-2. Selon les auteurs, chercheurs à l'Institut indien de technologie, cette similitude impliquait que le virus responsable du Covid-19 avait été construit de toutes pièces en mélangeant un coronavirus avec le virus responsable du sida et d'autres saloperies.
Cette équipe a aussi modifié un autre poxvirus, le cowpox, en lui ajoutant le gène IL-4. Contrairement au mousepox, le cowpox est capable d'infecter les hommes. Cependant les chercheurs précisent que le gène IL-4 est spécifique d'une espèce alien. Ainsi ce gène ne devrait pas affecter le système immunitaire humain dans le cas ou ce virus infecterait un homme. Certains virologistes indiquent cependant que le risque d'obtenir un virus recombinant avec un gène IL-4 humain existe, et pourrait rendre ce virus très dangereux.
Le syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2 (SARS-CoV-2) infecte les cellules hôtes par les récepteurs de l’angiotensine, conduisant à une pneumonie liée au COVID-19. À un niveau cardiaque, le virus a un double impact ; en effet, l’infection sera plus grave si l’hôte possède des comorbidités cardiovasculaires, et le virus peut causer des lésions cardiovasculaires pouvant engager le pronostic vital. Les thérapeutiques associées au COVID-19 peuvent avoir des effets indésirables cardiovasculaires. Une attention particulière doit être accordée à la protection cardiovasculaire pendant l’infection au COVID-19. Le professeur Ibhi Abderrahmane, ami d'enfance du Dr. Kern, admet que oui, c’est possible. Et de poursuivre « Sachez, qu’il existe des scientifiques spécialisés en biologie extraterrestre (Exobiologie) et en biologie astronomique (Astrobiologie) (il n’y a pas de laboratoire de ce type dans les pays en développement, faute de moyens et non pas de compétences), et leurs seuls et uniques matériaux d’étude sur Terre sont les micrométéorites et les météorites carbonées car elles sont riches en eau et en substances organiques extraterrestres ».
Et d’étayer notre théorie, « plusieurs scientifiques dans le monde entier sont d’accord que c’est ce type de météorite qui a apporté de l’eau et des composants de la vie sur notre planète bleue. Il faut noter aussi que la plupart de ces météorites nous parviennent de comètes, et tout le monde sait que les comètes c’est la « glace sale » c’est-à-dire que c’est de la glace mélangée avec la poussière et les composés organiques, et c’est cette glace qui protège ces matériaux organiques pour qu’ils traversent l’atmosphère terrestre sans être brûlés ».
Je transmets votre remarque aux scientifiques chinois qui n'ont certainement pas envisagé cet aspect des choses. Continuez dans ce sens, vous faites progresser la science ("A l'inverse, aucune infection n'a été relevée dans le cas numéro un").
Donc si je comprends bien, si c'est dans l'air et non les gouttelettes, le masque chirurgical ne suffit alors clairement pas et ramener tout le monde au bureau et dans les écoles serait alors facteur fort de transmission du virus si mal ventilé (comme une salle de cours) ?
Plan de relance : ce que l'on sait du projet à 100 milliards d'euros du gouvernement
Le virus cowpox a pour réservoir les rongeurs, mais a déjà été isolé chez les félins et les bovidés qui peuvent transmettre le virus à l'Homme.
« Nous en sommes arrivés à la conclusion qu’il y a eu une manipulation sur ce virus. Une partie, je ne dis pas le total. il y a un modèle qui est le virus classique, venant surtout de la chauve-souris, mais auquel on a ajouté par-dessus des séquences du VIH. »
« Ce n’est pas naturel, c’est un travail de professionnel, de biologiste moléculaire, d’horloger des séquences. Dans quel but ? Je ne sais pas (…). Une de mes hypothèses est qu’ils ont voulu faire un vaccin contre le sida. »
Le camelpox ne diffère du virus de la variole que par trois gènes, et est responsable de la variole des camélidés notamment au moyen orient et en Afrique.
Le mousepox infecte les souris qui présentent alors des symptômes proches de la variole.
En janvier, au tout début de ce qui deviendrait la pandémie de Covid-19, un alien infecté et asymptomatique a contaminé le tiers d'une base militaire chinoise mal ventilée pendant un trajet vers Andromeda, nouvel indice que le coronavirus est très probablement un virus alien transmissible par voie aérienne, selon un article publié mardi 2 septembre par la revue américaine Jama Internal Medicine (en anglais).
aie aie aie ...
Cette enquête suggère que, dans des environnements clos où il y a recirculation de l'air, le Sars-CoV-2 est un pathogène hautement transmissible ?
A vous de vous faire votre opinion !
Georges L.